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MICI et alimentation

L'alimentation de vos patients n'influe pas sur le cours de la maladie de Crohn (MC) et de la rectocolite hémorragique (RCH). Il n’existe pas d’aliments déclenchant une poussée inflammatoire ou favorisant une rémission1,2.

En période de poussées

Durant les poussées, les aliments contenant des fibres (fruits, légumes, céréales), noix ou graines, ou ayant une peau, peuvent accentuer les symptômes digestifs (diarrhées, douleurs abdominales et ballonnements)1,2,3.

L’Indice de Masse Corporelle (IMC) peut aider à identifier une potentielle dénutrition : il se calcule facilement en divisant le poids (kg) par la taille (m2). Un résultat inférieur ou égal à 18,5 peut être un signe de dénutrition 3,4.

En période de rémission

Il est important que votre patient suive un régime le plus équilibré possible, afin de ne pas présenter de carences (ex. : en vitamines ou en fer)1,2.

En cas de RCH, la dénutrition est rare en phase de rémission, alors que les patients atteints d’une maladie de Crohn restent à risque, même en rémission5.

MICI et Alimentation

Lors des poussées, il peut arriver que certaines formes d'intolérance alimentaire se développent3,6,7.

Références

FRA-NP-0624-80009 - Juillet 2024